Fenlïn de Vingën

Prénom et Nom:
Fenlïs De Vingën

Age:
18 ans

Classe sociale:
Fils de seigneur

Histoire:
Fenlïs est né fils du Seigneur De Vingën et de mère aux conditions plus modestes mais tout de même dans la haute bourgeoisie du domaine du Seigneur. Les terres, qu’il serait mené à gouverner un jour appartenaient au royaume de Quadrior, à l’extrême sud ou presque de celui-ci.

La seule particularité de sa naissance fut de précéder de quelques minutes seulement sa sœur jumelle, il garda ses deux parents en vie qui le chérirent et fut éduqué comme n’importe quel enfant de sa condition.

Cependant, le fait d’avoir une jumelle fut à l’origine de tout son caractère ou presque. En effet, les deux enfants reçurent une éducation en rapport à leur sexe, les sciences, le maniement des armes et la succession à la mort de son père pour Fenlïs et la couture, le paraître et toutes les choses typiquement féminines pour sa sœur. Etant naturellement curieux comme tous les enfants, il aimait se cacher pour regarder ce que sa jumelle pouvait faire.

Un jour, alors qu’ils avaient une douzaine d’année, cette curiosité permit, involontairement, au jeune garçon de voir sa sœur dans le plus simple appareil et là, la perversité prit le dessus sur son esprit, il se mit à fantasmer sur la jeune fille dont le corps n’était qu’aux prémices de sa formation. Sachant très bien que ce genre de sentiment et de désir lui étaient interdits, il cacha au plus profond de lui cette obsession.

Avec le temps, il parvint à se forger une carapace contre cette idée malsaine mais ses désirs s’étendent à toutes les femmes qu’il croise. Enfin presque toute, une en particulier ne l’attirait pas et pourtant celle qu’il voyait le plus souvent. Il s’agissait d’une jeune femme, un peu plus jeune que Fenlïs, qui ne quittait que rarement les écuries. Depuis qu’elle avait la force de soulever un seau, elle avait eut la charge de toutes les taches ingrates qui accompagnaient la présence de chevaux. Il va sans dire qu’à longueur de journée, sa présentation était déplorable à cause de ses habits sales, d’une odeur d’écurie et d’un visage rarement propre. Cependant, depuis l’age de 8ans, ils avaient l’habitude de se retrouver dans un box au fond de l’écurie pour s’amuser. La fillette, répondant au nom d’Olesya, était la seule personne avec qui le garçon pouvait se distraire. C’est même l’enfant qui avait apprit à son amie à manier sur arme pour « jouer à la guerre » comme il le disait, au moins, le jumeau pouvait avoir le dessus sur quelqu’un, une arme à la main.

La vie étant souvent surprenante, c’est avec Olesya que Fenlïs perdit sa virginité. Alors qu’il allait la voir, celle-ci se fit bousculer par l’arrière train d’une des montures et elle chuta dans le foin, sans dommage. En galant jeune homme, le fils du seigneur l’aida à se relever et là… la catastrophe, la carapace du jeune homme vola en éclat. Dans la chute, un sein d’Olesya avait réussit à s’enfuir et se présentait fièrement aux yeux de Fenlïs. Attention, on ne parle pas de n’importe quel sein, mais DU sein, celui au galbe presque parfait. Ne pouvant résister, Fenlïs le caressa une fois, puis une deuxième puis trois, sans la moindre objection de la jeune femme qui, il faut l’avouer, attendait cet instant depuis quelques temps déjà. Un geste en entraînant un autre, en deux minutes, ils étaient tous les deux nus, l’un sur l’autre, en train de se faire plaisir sous les yeux innocents de l’animal qui avait provoqué cet incident malgré lui.
Là où il aurait été facile de voir le début d’une relation, il en fut tout autre. Leur amitié en fut plus que renforcée. Ils prirent la décision de ne pas aller plus loin mais les désirs charnels furent leur lien aux yeux de tous. Alors que jusque là, leur fréquentation restait dans l’ombre, il en fut autrement par la suite, l’un apportant énormément à l’autre. De son côté, Fenlïs offrit une amitié sans borne, une situation à la jeune femme en la prenant comme maîtresse pour lui offrir la vie de château, elle, en retour, lui offrait aussi son amitié et ses connaissances sur les femmes et lui permit aussi à vivre avec ce penchant très très vif pour les femmes. Tous les deux étaient gagnant et cela grâce à une partie de jambes en l’air. En plus, comble pour le jumeau, Olesya, sous son ancienne allure de souillon possédait une réelle beauté physique.

La sexualité n’était pas tout dans la vie du jeune homme, bien qu’avec l’appuie moral de son appuie, il conquit plusieurs femmes pour une nuit ou deux, la guerre était quelque chose de très présent pour lui. Les combats étaient le sujet épineux entre le fils et le père. Le plus vieux des deux avait placé dans ses préférences le profit et la lâcheté alors que le fils préférait l’altruisme et la loyauté. Plus concrètement, le seigneur jouissait de se trouver à l’opposé des combats pour ne pas y prendre part ou seulement quand les conseillers royaux regardaient d’un œil mauvais de son côté. Le successeur était loyal envers le roi Kristian puis la reine Rebecca, incitant sans cesse son père à engager ses troupes aux fronts. Autre désaccord l’adoubement du jeune homme. L’intéressé ne considérait que porter le titre de Chevalier n’était qu’honorifique et que sans lui, il pourrait tout de même servir sa reine, mais le père voulait entrer dans les bonnes grâces de la jeune femme en lui envoyant son fils.

Finalement le clash eut lieu entre les deux générations et, excédé par le comportement de son père, Fenlïn prit sa lame pour rejoindre, en compagnie d’Olesya, les armées royales. Vu son jeune âge, il ne participa pas à de nombreux affrontements mais s’en était toujours tiré indemne.

Psychologie:
« Droit », « Loyal » et « Obsédé » sont les mots clés de sa personnalité. Il s’efforce de suivre de son mieux les principes du code de Chevalerie mais la réalité est parfois différente de la théorie et peut être amené à oublier temporairement un ou deux articles selon les intérêts du royaume, ou, du moins, ce qui l’est à son goût. Il est loyal sur tous les plans, envers sa reine, envers ses amis et envers ses amantes, la preuve étant d’avoir quitter le confort familial pour aller risquer sa vie contre l’avis de son père, seulement parce que ses principes lui dictait que sa reine et son royaume étaient plus important que les possessions d’un homme. L’obsession des femmes est quelque chose de presque omniprésent, il ne peut s’empêcher de suivre des yeux les courbes des jolies femmes qui croisent son chemin mais exit le jeune homme perturbé par le plaisir de la chair, il sait se contrôler et ne toucher qu’avec les yeux. Ceci dit, son obsession ne fait pas de lui un homme de peu de valeur, il respecte les femmes et leur voue presque un culte à celles qu’il appelle « les plus belles créatures du monde ». Il lui faut aussi plus qu’un corps bien fait pour l’intéresser, une tête pleine est une condition sine qua non.

Physique
: Il y a deux poids deux mesures avec fenlïs, au jour le jour, le jeune homme propre sur lui, le visage d’un jeune homme de bonne famille. Ses cheveux blonds ébouriffés et son regard charmeur font craquer plus d’une demoiselle. A l’opposé, dès qu’il enfile son armure, il a le visage fermé, son regard attaque directement l’âme de son adversaire, il est déterminé et son visage le montre.

Pour le reste du corps, il est visible que l’homme voulait prendre les armes et n’avait pas l’intention de ménager ses adversaires avec des bras et des cuisses puissantes ainsi qu’un mignon petit cul.

localisation:
Quadrior

Autres:
Il prend facilement la mouche lorsqu’un homme s’en prend à une femme et peu réagir parfois de manière violente lorsque l’une d’entre elle est prise à parti physiquement. Certains piliers de taverne ont perdu momentanément l’usage d’un membre après qu’une main s'était montrée trop entreprenante.

Il refusa catégoriquement des gardes du corps hommes lorsqu’il se promenait sur ses terres. Officiellement, il était sans défense extérieur mais officieusement, les femmes qui l’entouraient et le suivaient chez lui avait apprit de sa main à manier une lame et pouvait prouver qu’une femme n’était pas inférieure à un homme. De ces femmes, seule Olesya le suivit au front.

Une vilaine cicatrice à l’épaule gauche l’handicape en cas de grands mouvements puissants ou de grandes fatigues. Il s’agit d’un vestige de son premier cours d’archerie. Le jeune couillon, d’une manière ou d’une autre, avait réussite, à la surprise générale à décocher une flèche vers les cieux et se toucher avec. La douleur est parfois vive malgré les années.