Ronme Atil

Prénom et Nom :
Atil Ronme

Age :
29 ans

Classe sociale :
Guerrier Berserker auprès de la reine Séréna et de son frêre

Histoire :
Il n’y a pas si longtemps, les Ronme était une puissante maison chez les Nordiques. Ces paysans avaient découverts le seigle d’hivers, véritable trésor pour les durs terres du Nords, qu'ils vendaient et utilisaient, prospérant magnifiquement. De plus, ses guerriers avaient pour habitude de respirer de dangereux narcotique qui, envahissant leur esprit, les rendait coupés de tout sentiment. Grâce à leur connaissance de ces herbes, ils étaient de puissants guerriers et étaient respectés comme tel. Bref, la puissance des Ronme provenait de leur talent dans l’herboristerie.

Meliora, fille du chef de guerre Ordan, était une femme belle et perverse. Elle allongeait dans son lit tous les guerriers de son père et ses cuisses avenantes n’étaient inconnus d’aucun. Les talents médicinaux de la famille régnante tuaient tous enfants qui auraient pu germer dans le ventre fécond de la demoiselle et celle-ci s’en donnait à cœur joie. Son esprit frivole et pervers désespérait même son père.
Mais, lors d’un hiver particulièrement rude, un navire étranger fit mouillage dans leur port. Bon prince, Ordan autorisa les marins à se protéger en ville le temps que les tempêtes se calment. Parmis ces hommes de la mer, durs et basanés, se trouvaient un homme au teint plus clair. Grand et large, ses yeux bleus brillaient d’une lumière magique qui charma la coureuse. De son côté, le marin ne sut rester insensible aux attraits de la dame. Durant de longs mois, les deux amants forgèrent un amour dur comme l’acier et quand le printemps revint, que les marins repartirent, Thanor resta.
Ordan fut tout d’abord soulagé que sa fille arrête de jouer la catin mais aussi irrité de voir que son choix se portait sur un étranger. Il essaya plusieurs fois de la faire changer d’avis, de chasser l’homme mais l’un et l’autre résistèrent et le chef du bien accepter qu’ils vivent sous le même toit au vus de tous. Commença alors pour le jeune couple une période de bonheur presque complet. Seule héritière d’Ordan, Meliora était sûre de recevoir le village en héritage. La vie était belle et sa félicité s’accrut encore quand son ventre s’arrondit dans l’attente d’un enfant de son homme. Les mois s’écoulèrent très vite et un enfant robuste et braillard naquit sans difficulté. Toute l’attention du jeune couple se rivât sur le bébé exigeant. Nommé Atil en raison d’un illustre ancêtre, ses parents étaient très fiers de lui et le dorlotaient avec passion.

Lentement, le petit bout d’homme grandit, ouvert et guilleret mais capricieux et violent. Les autres enfants du village jouaient avec lui mais il faisait sa loi et n’acceptait aucun manquement. Il se faisait chouchouter par ses parents, tyrannisait les habitants, volait et mangeait à satiété bref, faisait tout ce qu’il lui semblait bon de faire sans réfléchir aux conséquences. Mais malgré l’attention de Meliora et Thanor, il se sentait seul et triste.

Quand il fêta sa deuxième année, ses parents décidèrent d’en faire un homme digne de ce nom. Le coupant de sa bande, ils commencèrent à lui apprendre tout ce qu’ils savaient. Il appris méthodiquement, rongeant sa solitude et essayant de trouver un défouloir dans les taches qu’on lui donnait. Heureuse de cet enthousiasme, Meliosa le poussa à apprendre la magie, estimant qu’un magicien valait tous les guerriers du monde. Thanor n’était pas complètement d’accord mais ne dit rien.
Là, le jeune homme tomba sur un os. Malgré tous ses efforts –et il ne s’épargna pas- il ne compris jamais jusqu’au principe le plus élémentaire de ce qui faisait l’art du vieillard du village. Frustré, vexé, le jeune homme abandonna tout et repartit vers les champs qu’il savait cultiver. Mais sa colère était si grande qu’il ne pouvait rien faire d’utile et que la ferme qui lui fut confier périclita rapidement. Sa forte carrure et ses muscles noueux alliés à sa colère mordante firent sombrer l’entreprise. Il battait les animaux dans des moments de purs colère, assommait les ouvriers, cassait les outils. Effrayée par tant de violence, sa mère le ramena à elle et tenta de le calmer, lui chuchotant toutes sortes de gentillesses. Mais rien n’y fit.

Son père intervint alors. Fatigué de l’infantilité de celui qu’il voulait considérer comme un homme, il lui apprit les rudiments de la guerre. Le garçon sauta sur cette occasion de se défouler et, très vite, il ne fit plus que s’entraîner à se battre. Comme il avait apprit le métier de la terre et tenter d’apprendre celui des arcanes, il mit toute son attention à apprendre toutes les ficelles du combat. Il passait ses journées à frapper sur un morceau de bois, à soulever des sacs remplis de pierres, à parcourir de longues distances. Si bien qu’il finit par battre les guerriers les plus expérimentés. Il força le respect autour de lui. On le pensait inutile mais il se révéla imposant, puissant, et par la même, utile.

Mais alors qu’il commençait enfin à prendre de l’importance aux yeux des habitants, un raid des Quadriens, dernière bataille d’une guerre depuis longtemps perdue, rasa le village. Atil ne comprit jamais comment cela avait été possible. Mais le fait est que les guerriers débarquèrent au petit point du jour et chargèrent un village encore endormi. Le Strandhögg pris les habitants au dépourvues et les maisons de bois flambèrent comme des torches. Ordan n’eu même pas le temps de trouver refuge dans la haute tour de bois qu’il avait fait construire pour se protéger qu’elle était en cendre et ses guerriers berserkers réduits à l’état de chair fumante. Et lorsque les soldats se retirèrent, le langskip rempli de victuaille, Atil gisait en dessous des corps.

Son réveil fut tourmenté et il longea le précipice de la folie de très près. Mais des voisins, passants après les agresseurs sauvèrent le jeune homme. Ils l’embarquèrent avec eux, de force car il refusait de partir et d’abandonner son enfance.
Commença alors pour le jeune chef vaniteux une période bien difficile. Pris comme mousse, il était en butte aux railleries de tout l’équipage puisqu’il n’y connaissait rien en bateau. Les corvées les plus infects lui était attribué et nul ne l’épargnait. Il compris encore plus le sentiment d’infériorité et de solitude tandis qu’il souffrait. Mais, sa patience et son acharnement eurent raison de son ignorance. Il apprit à naviguer, à résister à la houle, à ramer. Son corps en pleine croissance se forcit sur les bancs des rameurs et s’assouplit dans les mats du navire. Son cœur s’endurcit et sa raison s’ouvrit. Il devint plus compréhensif, plus malin et plus retors mais il lui manquait encore la sagesse. Il dû aussi apprendre à obéir à un ordre vite et bien. Et si il tardait un peu trop, les coups pleuvaient.

Cette sagesse, ce fut un vieux marin plein de cicatrice qui lui apprit. Le vieux loup de mer avait été sauvé par l’adolescent qui l’avait rattrapé avant qu’il ne passe par-dessus bord, un jour de tempête. Il prit alors le mousse sous son aile. Et, après avoir apprit la terre, l’épée, le navire, Atil s’initia à la sagesse. Margel lui enseigna l’art de réfléchir avant de répondre, d’écouter et de regarder autour de lui, de se modérer. Le jeune homme devint consciencieux et circonspect.
Il resta quelques années sur le navire.

Et, pendant que la vie des hautes mers le façonnait, le navire se rapprochait de la forteresse des Viking. Quand ils mouillèrent dans le port, Atil décida brusquement de changer de vie. Il fit ses adieux à Margel et partit dans la ville sans un sou en poche.
Et il survécut. Rapidement remarqué par les gardes de la ville, il fut enrôlé dans leur rang et découvrit là sa véritable raison de vivre. Aussi étrange que cela puisse paraître, il s’attacha au métier de soldat. De tous les enseignements qu’il avait appris, seul l’art de se battre l’avait véritablement passionné et, en se retrouvant devant un maître, un sabre en main, il choisit d’en faire sa vie. Avec son application coutumière et des talents innés, il acquis petit à petit une réputation de champion. Son don avec une épée à deux mains devint renommé et son dévouement total à son ordre lui fit monter les échelons.

Et lors de ses vingt deux ans, il fut pris comme guerrier berserker, défenseur de la reine et de ses proches.


Psychologie :
À cause de son existence chaotique, ballotté d’apprentissages difficiles à des dangers mortels, Atil est avant tout un homme prudent, méfiant et suspicieux. Il ne se lie pas d’amitié, évite les contacts, ouvre l’œil, et garde toujours une arme sur lui. Il porte beaucoup d’importance aux lois, aux règles et à la discipline. Pour lui, c’est avant tout obéissance et méfiance qui priment.
Son esprit vif lui permet d’appréhender toutes les situations mais il n’est pas encore assez critique pour réagir de la meilleure manière. Impulsif de nature, il préfère donc montrer les dents que faire le dos rond et résout ses dilemmes par la manière forte.
Ses relations avec les autres sont difficiles et si les guerriers le respecte pour sa force et sa justesse, nobles et paysans le trouvent trop frustre et trop grossier. Il aimerait être plus social mais ne fait pas d’effort pour malgré le fait qu’il rêve de tisser des liens avec quelqu’un et qu’il se morfond de sa solitude.
Il est généralement d’humeur maussade, aux réactions un peu brutal et il sourit rarement. Tolérant, il accepte boutades et remarques si elles sont badines mais ne supporte pas mots ou gestes déplacés et punis sévèrement les moqueurs et menteurs.
Atil déteste cordialement les Quadriens et n’hésite pas à le faire savoir. Il leur reproche d’avoir brisé son enfance et souhaite les voir mourir.
Cependant, malgré son statut de guerrier, il répugne à tuer. Il préfère remettre un homme à la dure loi des royaumes Nordiques afin qu’il soit jugé –même arbitrairement- plutôt que de l’abattre. Il sait se battre et son arme reste mortelle mais tuer de sang froid le dégoûte. C’est d’ailleurs sa raison d’utiliser des drogues qui rendent fous afin de s’isoler de ses sentiments.
De toute manière, son aspect effrayant suffit à décourager l’adversaire et dans le cas contraire, son épée en a assommé plus d’un.
Promulgué depuis peu au rang de protecteur de la maison royale avec un groupe d'élite, il prend son travail très à coeur. La reine et son fils lui plaisent bien ce qui l'aide. Et il a découvert Tail. Il a beaucoup apprécié le Conseiller. Il ne sait si c'est la naiveté et la fragilité qui lui ont plus mais il s'est attaché au magicien.
Atil était destiné à ce statut de guerrier intimidant, efficace et incorruptible, de toute évidence.


Physique :
Atil est un homme de taille assez basse, au corps pesant et musculeux. Il n’en reste pas moins leste et agile et surprend toujours par vivacité étonnante pour un homme de sa corpulence.
Il a un visage grossier au nez prononcé et aux yeux enfoncé. Surplombant deux yeux noirs agités d’un tic nerveux, ses sourcils sont deux broussailles impénétrables dont celle du côté gauche est coupée par une entaille verticale courant sur son œil. Son nez en trompette domine une bouche aux lèvres épaisses et aux dents gâtées et son visage arrondi se termine par un menton ventru. Son teint halé se fond à ses longs cheveux bruns attaché en une natte qui tombe jusqu’au bas du dos.
Un cou trapu rattache sa grosse tête à son torse gras et velu. Ses bras sont bien découplés et ses mains sont calleuses. Il a des jambes courtes épaisses et poilues et sa démarche est toujours chaloupée.
Il porte une armure faite de cuir et de fer qui le protège presque intégralement mais il garde la tête libre. Comme arme, il utilise toujours une énorme épée qu’il manie à deux mains. Elle est épaisse de deux pousses, presque aussi grande qu’elle et large comme ses deux mains. Sa garde fait presque un avant bras et il est toujours en train de la polir. Excepté son arme qu’il met dans son dos, il a un long poignard à son flanc et deux morceaux de fers à mettre sur ses poings.


Localisation : Royaume Nordique.


Autres :
Les vies successives d’Atil l’ont façonné dans de bien divers corps de métier. Ainsi, il sait peu ou prou s’occuper d’une ferme, entraîner des hommes, naviguer et boire à la taverne. Il a apprit la délicate façon de s’occuper des plantes indispensable au berserk et a ressorti ces souvenirs en arrivant à la cour de la reine. Aidé des herboristes déjà existants, il a remis au goût du jour l’utilisation de drogues et pas seulement pour se battre. Il a dispensé largement les effets de plantes hallucinogènes ou tout simplement agréables.
Lorsqu’il se bat, il n’use de ses drogues qu’en cas de danger extrême. Cela le rend insensible à la douleur et à toute forme d’émotion. Il ne lui reste qu’un vague vestige de son obéissance de fer et sa personnalité est effacée par la rage qui lui ronge le visage.
Il a avec lui une petit boulle de drogue très amère et très sèche. S'il avale la boullette de drogue, les substances qu'elle contient isole complètement son cerveau et il ne lui reste que son instinct et ses réflexe. Cela lui permet de ne plus restreindre ses muscles, et d'ignorer tout ce qu'il fait dans cette brève période. Toutefois, une dizaine de minute suffisent à son corps à le purgé et il s'écroule, épuisé, écoeuré, les muscles déchirés. Bref anéanti.

[Ouf, enfin fini.
Bravo à ceux qui ont tout lu mais j'en rajouterais peut être, c'est en me relisant que je m'aperçois de ce que je dois changer, pas en divaguant dessus après n'avoir fait que ça pendant deux heures ^^
J'espère que ça vous a plu.
Premiers changements, d'autres à effectuer !]

Je te donne un check franchement je n'ai rien d'autre a ajouté a part de tombé de ma chaise.

CHECK

La rival de ma reine qui m'accepte, voila qui est bien imprudent de votre part ma chère ...

Quand à tomber de votre chaise, c'est hors de question ! C'est pas encore vraiment ça ... je peux m'améliorer, mais pour le moment, je vois pas comment. Je le sais, c'est tout ...

Ah, une dernière information :
Ici, en hors jeu, j'ai un language si ce n'est soutenu, au moins familier et poli. Quand je jouerais avec quelqu'un, je compte marquer le côté rustaud de mon personnage. Je risque donc d'être très familier voir même ordurier -dans les limites des règles bien sûr.
Vous êtes prévenus, ne vous étonnez pas.

Par hasard les modérateurs sont tous de votre coté et tous les administrateurs du mien.

Citation :

La rival de ma reine qui m'accepte, voila qui est bien imprudent de votre part ma chère

Dites-vous que cela n'est pas surprenant pour une fois que je peux donner un check et franchement, vous le méritez fort bien je vous l'assure. Je suis fort impressioné qu'en une journée vous avez pu marquer tout cela (je sais moi c'en m'en a pris trois)

J'aime beaucoup, on voit vraiment le lien entre la psychologie et l'histoire .

Alors voila

#Check2#

BON JEU !!

*TING: mode modérateur chiant on.*
Quoi? Qui a dit "Mais elle est bien cette fiche, rabat-joie!"?
N'empèche.
La fiche est, d'un point de vue général (et un peu moins général aussi, d'ailleurs) pas trop mal. Même plutôt bien.
Mais bon, je vois juste un bémol: pour avoir 23 ans, je trouve qu'il a vraiment beaucoup vécu, ton personnage... Mais bon, je suis de bonne humeur, je vais oublier ça.
Attention aussi au style "guerrier super-puissant". Mais ça n'a pas l'air de prédominer dans la fiche, je vais oublier aussi. Mais je garde l'oeil!
C'est pas dans mon genre de faire ça du premier coup, mais bon, hein, il y a aussi des cas de force majeur: Check.
*TING: mode modérateur chiant off.*

Jolie description pycho et physique, j'aimais bien. Histoire intéressante, personnage bien élaboré, ça ne peut annoncer qu'un bon RP.

Bienvenue à toi, et d'ores et déjà bon jeu.

Merci à tous les deux, et surtout, n'hésitez pas à saquez, c'est en me montrant mes erreurs que je m'améliore ...

Pour l'âge, tu as raison. Et donc, je m'en vais de ce pas le vieillir d'une poignée d'année.

Pour le mode gros bourrin, je me méfierais du piège du grosbill.

Et j'ai fait deux trois changements mais j'en ferais encore ...

Hey l'ami!

Y'a des chances qu'on s'entende xD J'aime bien ta psychologie!
Très joli récit^^

Mais évite de faire peur à Maurice, en ce moment, il a les nerfs fragiles lol

Bon jeu...

Eh bien, on dirait que le fofo prend de l'allure! (malgré les petits soucis inevitables des admins absent^^)

Je devais terminer un bouquin pour l'école, donc...
Mais maintenant, me revoilà!

Pour ta fiche: Bravo! (check si tu veux^^)
Continue comme ça et tu verras, l'amélioration viendra toute seule! xD

Bon jeu

J'en ai marre d'être en retard!!!

Bon bienvenue.

Merci mon petit, mais je n'ai pas entendu les acclamations dû à mon rang !!

"Ecoute religieusement un silence pesant ... correspondant aux acclamations dû à son rang."

C'est mieux ^^

Merci à toi.

J'espère me battre contre toi bientôt. Ou bien tard si je veux bien défendre Séréna. ^^

Au fond... Juste une petite question au passage qui me turlupine depuis un bail:

C'est fait exprès que nos noms et prénoms soient des anagrammes? Ben, oui, ATIL et TAIL (un échange de lettres, le t et le a qui s'inversent.), et RONME et ORMEN (là, trois échnages de lettre au minimum...)...

Flute, je suis découvert !

Non, ce n'est pas un hasard. Quand j'ai lu ta fiche, j'ai été tellement impressioné que j'ai eu envie de faire un perso à l'antithèse du tien.
Bien sûr, au final, je n'ai pas pu faire ton exact opposé car je devais reste dans un peros jouable.

Mais j'ai fait mon histoire avec pour fil conducteur le contraire de la tienne.
Quelques exemples :
- Ta mère s'est fait violée, la mienne a décidé de qui elle aurait un enfant.
- La tienne te détestait, la mienne m'adorait.
- Tu as eu un grand talent en magie, moi j'y ai jamais rien compris.
- Tu n'hésite pas à tuer, je déteste ça.
- Tu as le sourire facile, pas moi.
- Tu es grand, je suis petit.
- Tu es beau, je suis laid.

...

Et pour les noms, ben ça m'as pris comme ça d'en faire des anagrammes.

Comme tu peux le remarquer, j'ai fait en sorte que tout ou presque nous différencie.
Seuls deux points nous sont vraiment commun :
- Notre appartenance à la puissance Nordique (toi conseiller, moi garde du corps)
- Notre haine aux Quadrioriens.

Voila, désolé d'avoir fait une sore de copier/coller en négatif de ton perso mais ça m'as tellement amusé que je n'ai pas pu me retenir.

Encore navré.

Haha, évidemment, Tail à le bon rôle dans cette histoire!

Citation :

- Tu as le sourire facile, pas moi.
- Tu es grand, je suis petit.
- Tu es beau, je suis laid.

Pour moi, ça n'a aucune importance. Il vaut mieux une fiche copiée en négatif plutôt que tout simplement copiée!

Pas de problème, bien au contraire, ça me flatte!

*grand sourire béat et stupide*

Ca, c'est mon point commun avec Tail: le sourire facile^^.

Bon moi qui croyait que tail éatit Atil. La je me sens un peu stupide

Depuis que Tail me l'avait fait remarquer, ça me turlupinait aussi xD

Ben voilà, on a les réponses

Perso je trouve ça original^^